(« Wikipédia et l’accueil des nouveaux, partie 2 », me prend pas mal de temps en recherches d’historique/formulation, et j’ai un peu la flemme aussi ; ça sera donc pour le prochain post.)
True tears est un anime japonais de 13 épisodes, dont la diffusion hebdomadaire a débutée le 6 janvier 2008. Plutôt que de résumer l’histoire (le lien est là pour ça), je passe directement aux impressions qu’il m’a fait. Notez que je n’en ai vu que 3 épisodes pour le moment
Musique
Pour commencer en douceur, l’opening, « reflectia« , est signé Eufonius (Clannad, Noein, …). J’aime beaucoup ce groupe, et cette fois encore, mes oreilles et moi-même n’avons pas été déçus. En bonus, beaucoup de soin à été apporté aux images du génériques, et l’animation se marie bien avec la musique. Que demande le peuple ? :)
Les musiques de fond sont très sympa, notamment celle au piano, et les thèmes des différents personnages leur colle bien.
Animation
à titre général, je ne suis pas très fan de l’animation assistée par ordinateur (notamment parce qu’elle a tendance à être mal intégrée au reste de l’image). Celle ci est généralement utilisée pour des objets difficiles à animer « par cellulo ».
True Tears m’a surpris, car eux l’utilisent non pas sur des objets, mais sur des personnages (principalement les figurants). Je pense notamment à :
- la scène de l’opening montrant la danse du festival
- le passage de personnes en arrière plan sur certaines scènes
- d’ailleurs, en fait, à peu près toute personne que l’on vois de loin (par exemple, l’heure de sortie d’école vu d’en haut).
C’est assez osé, et je ne me souviens pas d’avoir vu ça dans dans d’autres séries. Si je ne met qu’un « pas trop mal » sur les deux derniers exemples, la danse du générique rend super bien, chapeau pour ça.
Décors
Paradoxalement, une partie des décors est en pastel, ce qui donne littéralement l’impression d’être dans un tableau, ce qui a un rendu plutôt poétique.